À l’hôpital comme en ville, les IPA font leur nid.

À l’hôpital comme en ville, les IPA font leur nid.

Plébiscitées par les pouvoirs publics, les infirmières en pratique avancée (IPA) se font progressivement une place au sein des services hospitaliers et, dans une moindre mesure, des cabinets de ville. Les médecins qui ont franchi le cap y trouvent leur compte même si des difficultés persistent, notamment en libéral. Avec 700 nouvelles IPA diplômées chaque année, ces « super infirmières » vont continuer à prendre du galon. C’est en tout cas ce que suggère un rapport de l’Igas remis ce mois-ci au ministre de la Santé qui l’a reçu cinq sur cinq et s’est dit prêt à aller plus loin.